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REMY BRICKA (06 FEVRIER 2014)


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INTERVIEWS
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Music Waves a eu le privilège d'interviewer Rémy Bricka, l'homme-orchestre qui a marqué la mémoire collective de toute une génération, pour un large tour d'horizon de sa riche carrière. Rencontre avec un artiste aussi attachant que marquant...
STRUCK - 27.03.2014 -
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On aime commencer nos interviews par cette question… Quelle est la question que l’on t’a trop souvent posée ?

Rémy Bricka : "Ca doit être compliqué de devoir jouer de tout ça et ça doit être lourd !".

En fait, les gens ne se rendent pas compte que pour moi ce n’est pas lourd. J’ai tellement d’énergie que j’en oublie le poids des instruments. Je reçois l’énergie positive des gens qui sont présents lors des spectacles ou des animations.



Donc plus rien ne compte si ce n’est de donner du plaisir…

…Oui, voilà c’est ça ! Si le public sent que l’artiste souffre, il n'est pas ouvert à la joie.

Je ne dois pas faire paraître ce poids des instruments. C’est pour cela que je fais du sport, je m’entretiens car je ne suis pas qu’un homme-orchestre, je suis aussi un chanteur qui s’accompagne d’instruments de musique. Je dois être en forme - surtout au niveau du souffle - car je dois aussi jouer de la flûte, de l’harmonica…


Pour autant, n’en as-tu pas assez de voir ta carrière résumer au titre 'La Vie En Couleurs' ?


Non, je n’en ai pas assez car la vie doit être belle et 'La Vie En Couleurs' est un résumé de cela. D’un autre coté ça ne dépend pas de moi, il y a des chanteurs qui n’ont pas de succès, d’autres qui en ont sur scène mais pas publiquement. J’ai fait un hit, un vrai hit. D’autres en ont fait dix ! Peu importe, quand je les rencontre ils me considèrent comme un des leurs…


A contrario, même si tu n’as fait qu’un hit et même si tu n’as pas d’actualité à proprement parlé, nous sommes ici pour te rencontrer. Tu as participé à des émissions comme "Touche Pas A Mon Poste"… Te considères-tu comme une légende du paysage audiovisuel français et de la musique?


Cela dépend où l’on se place… Certains ne me connaissent pas. D’autres personnes qui me connaissent sont honorées et me demandent s’ils peuvent me serrer la main. Ils me disent que c’est un rêve d’enfant pour eux et moi ça me fait plaisir car ils ont la banane.


Et comment expliques-tu ça ?


Je ne me l’explique pas justement parce que je ne m'en rends pas compte. Je souhaite rester quelqu’un de simple et cela jusqu’à la fin de ma vie.

En revanche, je peux donner du sens à une poignée de main. Ça représente un contact physique avec une personne : cela prouve donc que je suis un être humain. J’ai eu cette sensation en Allemagne avec Willy Brandt – qui était une figure emblématique dans le pays - en jouant à une soirée dans un château. Il était là, je lui ai serré la main de son vivant ! C’était important pour moi !


Mais comment expliques-tu être encore présent dans la mémoire collective de toute une génération ?

Je pense que c’est dû à ma longévité. Quand quelqu’un est mort, on l’oublie vite. Regarde Aznavour, on lui fait des émissions, on l’honore. A contrario, Bécaud, il est mort il y a un certain temps : on peut lui faire des hommages ponctuels… mais c’est tout et encore, on se rappelle de lui. Certains sont totalement oubliés. Le plus bel hommage qu’on puisse faire à un artiste, c’est de son vivant.


Et tu considères que tu l’as eu cet hommage ?

Ah oui ! Je ressens cet hommage à chaque fois que je me produis. Et j’en ai encore un plus beau : j’ai une place à l’Europa Park en Allemagne où je joue souvent et qui s’appelle la Place Rémy Bricka ! Place Rémy Bricka – Paris 17ème – Homme-orchestre.


Et comment expliques-tu que tu ais cette place en Allemagne et pas en France alors que tu es un artiste français, tu chantes en français !

Parfois, on n’est pas prophète en son pays…


…As-tu des regrets à ce niveau ?

Oh non, pas du tout ! J’ai coutume de dire que je me considère comme un citoyen du monde. Donc que ce soit en Allemagne ou ailleurs … : c’est en Europe !

Je suis un Européen convaincu !


Malgré tout on a pu te voir auprès d’artistes en vogue comme Julien Doré. Comment es-tu arrivé à être présent dans son clip ? Le prends-tu comme un honneur ?

En fait, l’honneur était partagé.

Pour moi, c’est plus qu’un chanteur, c’est un Artiste avec un grand "A" : il est aussi acteur, peintre, diplômé des beaux-arts. C’est aussi l’arrière-arrière-petit-fils de Gustave Doré qui est aussi alsacien. Je suis alsacien donc il y a une fibre alsacienne indirecte.
Mais il a aussi une certaine vision de l’art que nous partageons sauf que nous ne sommes pas de la même génération et il est très respectueux de cela.
Il pourrait se retrouver avec quelqu’un de plus important que moi mais si cela ne l’intéresse pas il n’ira pas vers lui. Cela lui est complétement égal. Il est authentique !



Comme toi finalement !

Oui, j’essaye de rester simple.


Tu es arrivé avec la télé noir et blanc, maintenant nous sommes à l’air d’Internet. Comment vis-tu cette évolution et est-ce que tu en profites pour maintenir ton aura médiatique ?

Internet est devenu nécessaire. Ça conforte l’image, une image qui se serait évaporée…


Est-ce que tu penses que tu le fais assez ?


Non, pas assez. C’est un outil du 3ème millénaire et ça ne va pas s’arrêter là. C’est en perpétuelle évolution et il faudrait que je m’y penche un peu plus.

"Je vais encore créer si Dieu me laisse encore longtemps en vie. Je ne suis pas quelqu’un qui baisse facilement les bras."


Je te le confirme. Quand j’ai annoncé que je te rencontrais certains m’ont demandé si tu existais encore… Et nous allons y apporter la preuve car je pense que tu n’en fais pas assez !


C’est vrai ! Un ensemble de petits grains de sables peut faire beaucoup. On pourrait en faire plus. Les choses vont se faire petit à petit. Il va y avoir de nouvelles chansons. Je vais encore créer si Dieu me laisse en vie. Je ne reste pas inactif. Je ne suis pas quelqu’un qui baisse facilement les bras.


A ce propos, d’où t’est venue cette idée de traverser l’Atlantique avec une pagaie et deux flotteurs au pied ? Avais-tu un message écologique derrière ça
?

Quand on fait une action comme ça, c'est que, de façon consciente ou inconsciente, il existe une nécessité, un besoin de partager. Je suis quelqu’un d’original, je suis un défricheur. J’ai défriché la terre avec l’homme-orchestre et là, c’était la mer.

C’est un métier. Quelque part, il fallait que je montre le chemin. Je suis une sorte de cheminant, celui qui marche, qui trace, qui ouvre de nouvelles routes.

C’était aussi une expérience de survie, partir sans eau ni vivres. Prouver qu’on pouvait aussi s’en sortir grâce au moral. Alain Bombard disait qu’on ne meurt ni de faim, ni de soif mais seulement de folie car les gens deviennent fou au bout de trois ou quatre jours. Le monde s’effondre autour d’eux et ils meurent tout simplement.


Et comment t’en es-tu sorti ?

Je m’étais préparé. J’étais un naufragé volontaire !

J’étais dynamique, j’essayais d’avancer tous les jours. Regarder devant soi, jamais derrière : suivent qui veulent comme le joueur de flûte de Hamelin. Il y a deux finalités dans cette fable : d’un côté, il emmène les enfants se noyer dans la rivière mais de l’autre, il va vers une montagne. La montagne s’ouvre et se referme, emportant avec elle les enfants, sauf un estropié qui n’a pas réussi à suivre le rythme. Mais il a pu témoigner que les autres ont chanté jusqu’au bout et qu’ils étaient heureux.


Tu as traversé l’Atlantique et tu as tenté le Pacifique sans réussite. As-tu vu ta vie défiler ?

Non, on voit sa vie défiler quand on est en train de mourir. Je m’y étais préparé ! Quand on voit un orage ou une tempête arriver, on a le temps de se mettre en boule et d’attendre.

En revanche, pour l’Atlantique, j’ai eu peur. J’étais fatigué et quand je voyais des rouleaux arriver sur moi, j’avais peur qu’ils éclatent ma nacelle de survie et de me retrouver à nu. J’ai eu une crise de tachycardie, pas dangereuse en soi - on n’en meurt pas - mais sur le moment mon cœur s’est emballé !



Revenons à la musique si tu le veux bien. Quelle est ta formation musicale ?

Au départ, je suis autodidacte. Après, je suis un gaucher contrarié donc je suis ambidextre. J’ai un don qui m’a été donné par mon père qui était maçon mais artiste à sa manière car très bon dessinateur. On doit donc toujours quelque chose à quelqu’un.


Ta fibre artistique a dû faire plaisir à ton père !

Je pense que oui car il m’a quand même vu en homme-orchestre avant le succès.


Et c’est un manque ?

Non, car il a pu voir la démarche artistique. Il est mort à 58 ans en 1975, ça c’est un manque. Ce n’est donc pas un manque de reconnaissance artistique mais plutôt ma relation père-fils. J’aurais voulu partager plus de choses avec lui.

C’est mon exemple, mon emblème. Encore aujourd’hui, en Alsace, les gens me parlent de son talent de maçon, de constructeur de maisons. Il était pompier volontaire, gymnaste. Sauver des gens était très important pour lui. Je pense que de là où il se trouve, il veille encore sur moi.


"Je me suis donc tourné vers la vie en couleurs pour montrer son côté blanc, pas le noir ! Je m’habille en blanc, c'est l’innocence, la pureté, les oiseaux"


De tous les instruments que tu joues, quel est celui que tu préfères ?

La guitare, c’est la base. Avant, c’était l’accordéon. Je ne pouvais pas jouer du piano car mes parents ne pouvaient pas me l’offrir. L’accordéon c’était le bal musette…
La mode, c’était Bob Dylan, Hugues Aufray, Antoine, Polnareff… Je voulais assez vite aller vers le 'protest-song' mais il y avait déjà assez de monde qui protestait alors je me suis tourné vers la vie en couleurs pour montrer le côté blanc de la vie, pas le noir : la paix ! Je m’habille en blanc, c'est l’innocence, la pureté, les oiseaux…


… Les colombes ! A ce propos, comment fais-tu pour que ces oiseaux restent avec toi et ne s’enfuient pas lorsque tu joues ?

Oh, il peut arriver qu’ils volètent un petit peu mais c’est comme un enfant ! Les gens ne peuvent pas concevoir qu’un oiseau ne puisse pas s’envoler. Je leur réponds que c’est comme leurs enfants ! Vous êtes dans une fête foraine, il n’y a aucune raison pour que vos enfants disparaissent d’un coup…

Je forme une sorte de famille avec mes animaux. Ce n’est pas du dressage, plutôt une reconnaissance de la voix. Ils savent que c’est moi et que je ne leur veux aucun mal. Un animal doit être heureux avec l’être humain. Il ne doit pas dépendre de l’être humain… J’ai un couple - Coco et Chanel - qui vit ici 24h/24, j’instaure un climat de confiance pour qu’ils s’épanouissent.


On a parlé des feux artifices, tu as été un précurseur ! Que penses-tu de ceux qui les utilisent à outrance ?

Plus ça va, plus il faut faire du grand show ! Il faut que ça pète de tous les côtés, il faut des écrans géants et je comprends cette évolution mais ce n’est pas la mienne.

Je garde cette image de l’escargot qui porte sa maison sur le dos. Je me suis rendu compte au fil des années qu’il fallait épurer l’homme-orchestre en enlevant quelques grelots ou clochettes… par exemple qui n’apportent rien à la musicalité mais qu’il fallait peut-être rajouter des lumières, des petites bulles de savon pour agrémenter momentanément mon spectacle.

Un jour, j’ai fait une émission avec Michel Drucker et Peter Ustinov - qui était un bruiteur extraordinaire - je venais juste comme ça et Michel Drucker disait : "Rémy Bricka, il a l’électricité, l’eau, le gaz… Il a tout sur lui !" et Peter Ustinov a dit : "C’est vrai ? Alors il faudrait lui donner la légion d’honneur !" (Rires). 


Sans transition, qu’écoutes-tu actuellement ?

J’écoute plutôt des chansons que des chanteurs. Je suis éclectique, je suis très curieux, dans tous les sens. En ce moment, je m’intéresse à des danseurs et à de la musique venant de Chine. Je suis moins attiré par le rap. C’est moins musical, par contre quand c’est agrémenté de refrains ça va mieux.

Je suis assez d’accord avec les compositeurs de ABBA : beaucoup de rappeurs leur demandent s’ils peuvent reprendre leurs chansons et eux leur répondent que non, il faut qu’ils composent leurs propres morceaux (Rires). D’ailleurs à propos de ABBA, je reprends ‘Thank You For The Music’ parce que je remercie tous les jours que la musique puisse me permettre de gagner ma vie, c’était mon plus grand rêve.


Est-ce que tu as fait beaucoup d’animations dans des centres commerciaux ?

Oui dans des Carrefour tout au début de ma carrière…


... le regrettes-tu ?

Non, c’était important ! Je savais que pour débuter, je devais le faire. Par exemple, ma première émission, je la dois à Mireille sur la première chaîne, en même temps il n’y avait que deux chaînes à cette époque. Je lui en suis reconnaissant même si mon côté rebelle, saltimbanque l’a un peu énervé. Elle m’a tout de même accepté dans son école.


"Je me produisais surtout sur les parkings avec des saltimbanques... C’était une mini cour des miracles. Cela m’a permis de démarrer dans le métier"

 

Tu as débuté avec Mireille connue pour son école de chanteurs. Malgré tout, ce qui reste de toi c’est cette image de saltimbanque voire clownesque dans le sens positif de la chose. Ne regrettes-tu pas que ce soit plutôt ce côté homme-orchestre amusant que l’on retienne au détriment du véritable artiste avec toutes les qualités vocales et musicales que tu possèdes ?

J’ai fait du chant classique, j’ai eu quelques prix mais je ne le regrette pas. J’ai même une licence d’enseignement de la musique que j’ai eu à Paris VIII.

Tu sais, c’était la première chaîne dans les années 70 puis j’ai fait toutes les ouvertures de Carrefour. Je me produisais surtout sur les parkings avec des saltimbanques : un jongleur, un cracheur de feu, un briseur de chaînes, une danseuse tsigane, un clown échassier. C’était une mini cour des miracles. Cela m’a permis de démarrer dans le métier. On se construit.

Pour revenir à ta question, je ne suis pas encore au bout de ma carrière et je travaille pour être reconnu comme tel. Mon leitmotiv c’est tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir !


Tu parlais de cette époque. Es-tu nostalgique d’une période musicale ou médiatique où tu as connu ton heure de gloire ?

Non, j’ai réussi à ne pas m’y fier, j’y ai trouvé une harmonie familiale, c’est important de construire une famille. Au début, j’étais un cheval fou, maintenant je suis plutôt un cheval de trait. Je tire ma charge d’une façon constante, je fais mon bonhomme de chemin.


Toujours avancer, ne pas s’arrêter, toujours continuer…

Oui, à chaque jour suffit sa peine, pas la peine qui pèse mais plutôt le chemin, avancer un pas après l’autre.

La philosophie de l’homme-orchestre c’est faire plusieurs choses à la fois et finalement je me suis rendu compte que faire plusieurs choses en même temps, c’était s’éparpiller. Quelqu’un qui a dit : on ne peut pas servir deux maîtres à la fois donc je continue à construire comme on fait une maison… déjà les fondations puis la suite.


Tu parles de pas… Quel est le prochain pas de ta carrière ?


Celui que je fais chaque matin en me levant.


Et pour le public ?

Le public ? Ça ne dépend pas de moi. Si un jour je dois faire un come-back médiatique, je le ferais mais ça ne sera pas de mon ressort. Tout dépend du public et des professionnels du métier. C’est une équipe qui le réussira car tu as beau être homme-orchestre, tu ne peux pas tout faire.



Même si avec Internet cela semble plus facile de toucher les gens directement.

Oui mais regarde Stromae, il a eu besoin de son frère pour le filmer et d’autres personnes… Tu as besoin d’une équipe, tu ne peux pas faire le buzz tout seul. Ce sera le fruit de mon travail et de l’équipe mais pas du hasard.


Question traditionnelle de Music Waves : quel est ton meilleur souvenir d’artiste ?

Il n’y en a pas vraiment en fait… Peut-être quand j’ai commencé à gagner ma vie. C’est ça le plus beau. Ce n’est pas un seul événement mais un fait marquant.


Et le pire ?

Je n’en ai pas ! Je n’ai aucun regret. Il y a des erreurs qu’il fallait que je fasse et que je n'ai pas pu éviter comme travailler avec certaines personnes. Mais ça fait partie de l’apprentissage. Être artiste c'est comme être peintre : c’est un sacerdoce, une petite prière tous les matins. Souvent un peintre est connu après sa mort, je me considère comme un peintre bien vivant.


Nous avons commencé par la question que l’on t’a trop posée… Quelle est celle que tu voudrais que je te pose ?

… Silence… (NdStruck : visiblement ému par l’intérêt qu’on lui porte). Aucune, je pense que toute question mérite une réponse. J’ai essayé d’y répondre le plus honnêtement possible. Je n’aime pas les questions négatives, je préfère voir les choses positives et essentielles.


Un grand nombre de témoignages disent que tu es quelqu’un de profondément gentil, attentionné et torturé ! Il le fallait pour être un homme-orchestre. Es-tu d’accord avec cette définition ?


Oui, j’ai été torturé mais je ne le suis plus. J’ai essayé de réparer mes failles. Il en reste encore, j’essaye de les gommer, de les transformer. Je ne suis plus torturé mais je fourmille d’idée et de rêves. Et parfois pour arriver à ces rêves, je peux paraître torturé.


Tu parlais de rêve, si tu devais réaliser un rêve ce serait lequel ?

Un rêve, c’est comme un secret donc tu le connaitras quand il sera réalisé ! Un rêve, si on en parle il risque de ne pas se réaliser. Je suis devenu superstitieux avec le temps donc je les garde pour moi.


Un dernier mot pour les lecteurs de Music Waves ?

Chacun son chemin. Je souhaite à chaque lecteur de Music Waves qu’il trouve sa propre voie et qu’il écoute son cœur. Il faut laisser parler son intuition et tracer sa route.


Merci

Merci à toi pour ces questions intéressantes…



A noter que si cette interview vous a plu et vous voulez en savoir plus sur la vie passionnante de Rémy Bricka, son livre "Mes Traversées Pacifiques" aux éditions du Rocher est encore disponible à la vente.


En enfin un grand merci à Pete_T pour son inestimable contribution en rendant possible cette belle rencontre...



Plus d'informations sur http://www.remybricka.com/
 
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