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Je ne pensais pas qu'il était possible de faire mieux que Tick Tock et surtout Night.... Et bien là ils font aussi bien les bougres! En fait cet album conserve la patte du groupe mais l'ambiance est ici un peu différente.... Enfin ça reste du GAZPACHO, hein.... Mais il y aurait une pointe de magie en plus que ça m'étonnerait pas. Et ce gimmick qui parsème la galette est fort bien trouvé ma foi, il n'est pas redondant et la durée de l'album est juste parfaite. On est pas sur les quasi 80 minutes de la plupart des groupes Prog. Ici c'est 50 minutes de bonheur auditif 😁
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Je sais déjà que mon appréciation va faire grincer quelques dents au sein de l’équipe même, et au-delà, parmi les amoureux de Gazpacho. Déja modérément emballé par leur disque précédent, je ne suis guère plus touché par “March of Ghosts”. Il faut dire que je pars avec un handicap : je ne suis pas fan du Marillion seconde époque (avec Steve Hogarth), dont Gazpacho peut abondamment se réclamer.
Sous un vernis extrêmement soigné (les sons de claviers sont particulièrement étudiés pour servir les ambiances), Gazpacho nous livre une musique réfugiée dans la mélancolie, avec des compositions dénuées de toute fantaisie : l’adjonction de diverses sonorités telles les uillean pipes de ‘Hell Freezes Over II’ ou ‘Gold Star’, les teintes arabisantes de ‘Golem’, tout comme les touches folk de ‘Mary Celeste’, sont un habillage assez superficiel qui manque à donner du corps à un fond de composition plutôt maigre, qui tient d’ailleurs plus de l’atmosphérique que du progressif, les structures mélodiques restant plutôt simples.
Tant que Gazpacho se cantonne à son registre préféré - les lentes plages atmosphériques très spleen sur fond de nappes de claviers -, le résultat est magnifique quant aux sonorités, le groupe sait remarquablement rendre la mélancolie. Mais ne cherchez pas ici des développements alambiqués ... Certes, la simplicité peut être belle, mais l’unicité d’ambiances finit par faire diluer l’attention, ou plutôt, il devient possible de percevoir les procédés d’arrangements devant la qualité de composition. Et quand le groupe s’essaye à instiller plus de (relatif) dynamisme (‘Mary Celeste’, ‘Hell Freezes Over IV’), on le sent à la peine, d’autant qu’aucun développement vraiment digne de ce nom ne vient enrichir le propos.
Cet avis ne doit pas faire oublier les qualités mélodiques évidentes de “March of Ghosts”, avec lequel Gazpacho a su sortir un bel album. Un grand album, je n’en suis pas du tout convaincu.
6.5
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Certainement beau, certainement talentueux, mais franchement, y'a de quoi se tirer une balle. Désolé, j'ai encore essayé mais je continue à ne pas adhérer.
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Gazpacho revient au meilleur avec cet album, nous ramenant à l'époque de "Tick Tock". Alternant vivacité et langueur, avec beaucoup de sensibilité, le groupe signe un très bon disque où l'on ne s'ennuie pas un instant. 8,5.
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Mais jusqu'où ce groupe ira-t-il ? Jusqu'où sa capacité à produire de telles merveilles disque après disque va-t-elle aller ? Sombre, mélancolique mais tellement beau, "March of Ghosts" est une nouvelle perle à ajouter à la discographie sans tâche des norvégiens. Petite nouveauté, des Uillean Pipes qui collent à merveille à cette musique. De qui sont-elles l'œuvre ? Impossible de savoir avant la sortie officielle de l'album semble-t-il.
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