|
|
|
Houlà ! Je n’ai pas adhéré du tout, mais alors pas du tout ! Le côté "présomptueux grandiloquent" de cette œuvre m'a sidéré, le melon de Malmsteen, à côté de ceux d'O'Neill et d'Oliva, c'est de la roupie de sansonnet ! Que ce soient les morceaux faisant penser à ceux que composent Jim Steinman quand il s'est levé du mauvais pied ou ceux reprenant des thèmes réputés de la musique classique rabâchés par tous les hard-rockers se disant inspirés par Mozart et consort pour faire civilisé, aucune mélodie ne m'a accroché et aucun émoi ne m'a donc envahi. Ni la technique des musiciens, ni le talent des vocalistes n'est ici à sabrer, mais pour ce qui est de l'âme de cette œuvre, pour ma part, elle m'a laissé de glace. Quant à la pédanterie affichée par les protagonistes dans les interviews que j'ai pu parcourir, elle ne m'a pas encouragé à tenter une seconde approche. Quelque part entre la poudre aux yeux et la coquille vide.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Haut de page
|
|