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Franchement j'ai fini par accrocher tres vite a ce truc. peut etre parceque ca ressemble a tout ce j'ai pu aimer. A l'ecoute des morceaux, on peut tres facilement detecter ce qu'a pu ecouter le guitariste compositeur, la même chose que moi en fait. Après il y a vraiment du super boulot, on sent que ce groupe est inspiré, en veut vraiment et maitrise au niveau musical. Cependant rien de tres original neammoins, il leur manque une veritable personalité, cela transparait justement dans les attitudes "too much" qui plairont surement au public US, et qui transpire un peu la baloche aussi (sur le net on les voit en train de reprendre du ABBA aie aie aie !) S'ils arrivent à se debarasser de cette image et prennent une attitude de vrai groupe de rock ce sera surement un grand groupe. Le deuxieme album le dira...
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Le APP est peut-être mon groupe préféré, et Alan en solo est plutôt sympathique, même The Secret un peu mou mais tout à fait écoutable.
Mais ce dernier album est une catastrophe absolue. Du fan-service bas de gamme (ce premier titre qui ressemble à une mauvaise auto-parodie avec un texte trop premier degré, ce dernier titre où on dirait le 45 tours original auquel on a rajouté la crécelle de Don't Answer Me), deux titres corrects dont un (Halos) au final sabordé, et un nombre incalculable de petites ballades pop typées Pilot (un groupe que je n'apprécie que modérément) avec une énergie proche du zéro absolu.
Ce n'est même pas mauvais, c'est inexistant. Et de la part d'un tel artiste, c'est encore plus impardonnable.
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Une des plus belles créations de Neal Morse, un chef d'œuvre abouti, exceptionnel de virtuosité, de maîtrise...
La musique est au service des émotions, de la narration, on est vraiment transporté dans le ministère de Jésus sur Terre avec toute la complexité du prog . Chaque écoute apporte une délectation supplémentaire... Les chanteurs sont à la hauteur de leur rôle.
Merci à celui qui l'inspire, merci pour son talent mis à son service...
A classer dans le panthéon des meilleurs concept albums de tous les temps.
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La magie des premiers albums d’Alan Parsons a disparu depuis bien longtemps, et ce n’est pas celui-ci qui la ressuscitera. Le disque dispense une pop agréable et totalement inoffensive qui s’écoute sans peine et qui s’oublie aussi facilement. Et que dire de la très mauvaise idée de terminer sur deux reprises ? Outre le fait que cela ressemble beaucoup à du remplissage, était-il nécessaire d’exhumer ‘Be My Baby’ dont la pop sucrée fait mal aux dents et de massacrer la Symphonie de Nouveau Monde de Dvorak dans une version lénifiante comme l’a si bien dit TonyB dans sa chronique, le mot étant parfaitement approprié au résultat. Reprendre du classique est un exercice casse-gueule comme le démontre sans le vouloir Alan Parsons.
Hormis ces deux fautes de goût, le reste s’écoute mais, au vu de la pléthore des sorties, est-il vraiment nécessaire de perdre son temps à vouloir jeter une oreille sur cet album ? Je n’en suis pas sûr.
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Bravo ! Alors là Bravo ! Le p'tit gars James Durbin nous a pondu à somptueux album ! Quelle évolution depuis sa participation foireuse à l'album de Quiet Riot sorti en 2017 Road Rage. Quelle révolution, est-ce le même bonhomme qui chantait alors comme un (vilain) petit canard !? Et en plus il l'a fait tout seul comme un grand ce magnifique album The Best Awakens, bien entouré c'est certain, mais c'est un quasi sans faute.
Quelle maturité surprenante à l'écoute de ce brûlot d'où se dégage une énergie débordante et communicative. Déjà à la première écoute les titres trouvent leur place tout seul et les mélodies s'ancrent avec insolence dans l'esprit pour un résultat sans faille.
James Durbin à une voix aiguë mais jamais fatigante qui colle parfaitement à ses chansons Heavy Metal et il sait parfaitement la moduler pour donner du relief à sa musique. Les musiciens qui l'accompagnent sont parfaits dans l'exécution et apportent une plus-value à l'ensemble des titres qui défilent sans se lasser. La production est elle aussi un atout majeur et rentre dedans. Aucun titre à jeter, pour cet album bol d'air qui donne la pêche !
En conclusion une très bonne surprise d'un musicien dont on attendait rien et qui comme Patrick Sébastien a su nous faire le coup du Grand Bluff ... un artiste à suivre assurément.
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Avec ce Ghost Xperiment Illumination, Vanden Plas réussit le tour de force de marier puissance et mélodie, sans que la première ne prenne jamais le pas sur la seconde. Pourtant, cet album ne manque pas de batterie martelée, de basse profonde et de soli rageurs, mais tout cela est mis au service d'une musicalité jamais démentie. La performance vocale d'Andy Kuntz n'y est évidemment pas pour rien. Le seul miniscule regret, c'est le titre bonus qui, sans déparé dans l'ensemble, vient rompre le charme de l'atterrissage en douceur que promettait Ghost Engineers. Mais il faut bien trouver un 'truc' sur lequel chipoter.
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