|
|
|
J ai découvert IQ récemment et je ne le regrette pas ;toutes ces années perdues sans ce fantastique groupe de prog le plus pur qui ne s est pas fourvoyer ds la pop mievre de certains morceaux de Genesis ou Marillion(dernières moutures)cet album est fantastique(les 2 albums précédents n étaient pas si nuls bien que decriés par la presse)le maître à penser et créer est bien Peter Nicholls et ça s entend :sa voix qui était proche de Gabriel au début est ici plus identifiable et fantastique....j adore ce groupe
|
|
|
|
|
|
|
Un album magnifique qui est clairement une invite au voyage spatial. Un vrai petit bijou qui déploit ses effets dans l'espace sonore en vous laissant scotché.
La composition est véritablement extraordinaire. Mike Holmes tire le maximum de chacun des instruments utilisés et les agences les uns avec les autres avec une maestria remarquable. son intervention à la basse mérite qu'on tende l'oreille soigneusement, . C'est ciselé par un artiste, on ne peut pas le nier. On passe d'une plage éthérée à une autre plus puissante, presque énervée, poussée par une rythmique efficace et impressionnante
L'ensemble des titres reste homogène malgré une belle inventivité, aucun ne parait être le maillon faible d'un album qui par ailleurs place la barre très haut. Une sorte de prog-rock (2 titres de plus de 10 minutes, avec un "Dreams" énergique et richement varié, et "Full of Stars" très génésissien) teinté de nappes de claviers très planantes parfois, le tout influencé à la fois par Genesis (très bel usage du Mellotron, batterie parfois très inspirée de la frappe de Phil Collins) ou Pink Floyd (phrases musicales allongées comme par exemple "Twenty Eight" et bruitisme comme quelques voix récitantes) avec régulièrement des crescendo à la Ravel. Un mariage des genres très réussi, très inspiré, servi par une virtuosité incontestable.
L'écoute est un moment de bonheur parfait, sans la moindre tâche. 60 minutes de mise en orbite dans la félicité. Réservez vos billets, car vous y reviendrez plusieurs fois !
|
|
|
|
|
|
|
J'ai tous les albums d'IQ, les ai vu en concert quelques fois et aime vraiment la musique de ce groupe. Mais là, non. Non, non et non !
Je mets 2 pour ne pas mettre un par respect pour le groupe !
Régulièrement, les critiques concernant IQ visent à noter le manque d'originalité, ou la voix de Nicholls qui ne fait pas l'unanimité !
Et là, bizarrement, un concert de louanges !
Vraiment je ne comprends pas.
Je trouve cet album ennuyeux au possible, bien joué, c'est vrai mais ennuyeux.
Où sont les mélodies ?
Je vous le demande ... parce qu'après de nombreuses écoutes, je ne les ai toujours pas trouvées !
C'était pourtant la marque de fabrique du groupe jusqu'ici !
Du son, oui.
Du bruit, oui.
Et puis c'est tout.
Next !
|
|
|
|
|
|
|
Lecteur quotidien de Music Waves, je vois le dernier avis de Ricken-51, ce qui attire mon attention pour relire la chronique.
Comme lui, je trouve cet album bien réalisé avec des musiciens talentueux, sans égo, au service de leur instrument et de leur créativité. Effectivement, Michael Holmes est un guitariste inspiré pas aussi bon qu'un Steve Rothery, mais ses interventions sont toujours justes, mélodiques.
J'adore le jeu de basse de John Jowitt. Sur scène il est très charismatique. Dommage qu'il soit aussi instable pour ne pas rester plus longtemps dans certaines formations (IQ, Arena).
Quant à Peter Nicholls, contrairement à certaines critiques plus bas, je trouve que sa voix est touchante, originale et colle parfaitement à l'univers d'IQ. Je préfère infiniment sa voix à celle d'un Steve Hogarth dont la tessiture geignarde me gave passablement et m'a fait fuir Marillion. Comme quoi tous les goûts... 😋
Et enfin, l'incontournable Martin Orford, qui ne se met pas dans la lumière car trop humble, mais ses ambiances et ses sons de synthés sont absolument superbes.
Pour en revenir à l'album, je le trouve excellent tant dans son concept que dans les mélodies proposées, même si certains gimmicks se retrouvent tout au long de ce double opus. Tout s'enchaine sans rupture. Seul moment peut-être faible est le popisant "Unsolid Ground". mais il y a des morceaux de bravoure comme "Overture", "Subterranea", "Tunnel Vison", le très aérien "The Sense in Sanity", "Breathtaker", "Somewhere in Time" et enfin l'épique "The Narrow Margin".
IQ vraiment un groupe mésestimé qui mériterait un peu plus de lumière sur son œuvre.
Je les ai vus en concert à Bordeaux lors de cette tournée, cela restera l'un de mes meilleurs concerts.
|
|
|
|
|
|
|
Il y a eu Tommy puis Quahenia chez les Who.
Il y a eu Tales From Topographic Ocean chez Yes.
Il y a eu The Wall chez les Pink Floyd...
Mais non, je n'oublie The Lamb Lies Down On Broadway de Genesis !
Comment pourrais-je l'oublier, c'est mon album préféré.
Alors voilà, IQ est de la race des grands, ils ont osés.
Plus encore ils ont réussi à réaliser ce que je croyais impensable.
A savoir, me faire douter que The Lamb... reste mon album préféré.
Les mélodies sont merveilleuses, les solis (Michael Holmes à la guitare et Martin Orford aux claviers) sont accrocheurs, la rythmique (John Jowitt à la basse et Paul Cook à la batterie) puissante et tonique, le chant (de Peter Nicholls) poignant au possible et le son quasi parfait.
La presque totalité des morceaux est enchaînée et le final 'Narrow Margin' est un de mes morceaux de progressif préféré: 20 minutes de bonheur.
Cet album possède même quelques titres qui aurait pu faire des tubes: Speak my name, Unsolid ground.
Ce double est donc une perle à qui je peux juste reprocher 2 choses:
- La reprise trop récurrente de certains thèmes musicaux.
- Le manque de furie vocale (Ah ! Si seulement Peter Nicholls pouvaient geuler de temps en temps !)
Alors voilà, s'il ne vous faut qu'un IQ, je pense que c'est celui là, mais, comme toute critique, c'est totalement subjectif.
Et d'un autre coté, si vous aimez celui-là, ne vous privez pas des autres merveilles de ce groupe.
|
|
|
|
|
|
|
Quelle déception que cet album ! Qu’est-il arrivé à Southern Empire pour qu’il passe en cinq ans d’un progressif certes parfois musclé mais inspiré à cette fusion mal amalgamée de prog et de metal ? Car, outre des compositions qui manquent singulièrement d’originalité à mon goût, cela restant bien évidemment subjectif, Southern Empire semble sans cesse hésiter sur la direction musicale à suivre, ballotant l’auditeur entre mouvements symphoniques et passages musclés sans grande cohérence. Il y a beaucoup trop de riffs de guitare et de motifs de batterie typés metal pour un amateur de prog symphonique comme moi, et sûrement pas assez pour intéresser un vrai amateur de metal. Sans parler d’un chant qui passe souvent en force loin d’être convaincant.
Quand on voit ce que Sean Timms fait en parallèle avec Unitopia, on est en droit de se demander s’il s’agit bien du même homme. A moins, comme le suggère Abaddon, qu’il ait laissé la bride sur le cou à ses camarades de jeu, ce qui à l’écoute s’avère une très mauvaise idée. "Another World" est un album hybride aux compositions quelconques dont l’écoute s’avère rapidement fastidieuse.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Haut de page
|
|