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Une très belle réussite cet album avec un retour aux sources (littéralement ^^) qui fait vraiment plaisir... Cet album me donne la banane à chaque fois que je l'écoute, avec des morceaux très inspirés, qui sont tout bonnement planants, écoutez "Eternal Light" pour en être convaincu...
Bravo à ces vétérans qui ne cessent de nous surprendre en bien !
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Je vais m'inscrire en porte-à-faux avec la tonalité générale de la chronique, des avis et commentaires, au final plutôt mitigés. Si l'on considère que la musique est vecteur d'émotions, que les mélodies sont là pour nous emmener "ailleurs", alors le contrat est largement rempli.
Car oui, Nick sait comment s'y prendre pour trousser des mélodies qui vous collent aux neurones, qui vous prennent par la main pour ne plus vous lâcher. Et ce du premier jusqu'au dernier titre.
Pendragon revient certes aux recettes qui ont fait son succès ... et alors ? Pour ma part, la traversée métallique, succombant aux modes, est celle que je trouve la moins intéressante. Débarrassée de ses oripeaux métalliques, la musique de Pendragon retrouve ainsi toute sa superbe.
J'ai lu aussi "mou du genou" ? Alors, il fallait assister au concert du début de la tournée de "Love Over Fear" pour constater combien ces compositions, transposées sur la scène, regorgent d'énergie. Ainsi le magnifique titre "Eternal Light", déjà riche, intense et varié, en ressort encore sublimé.
Alors un seul conseil aux fans de rock progressif : courez y les yeux fermés et laissez vous entraîner par la magie (et vous verrez, arrivé à la fin, vous aurez envie d'appuyer sur le bouton replay !).
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Je suis en phase avec les avis de mes amis Abaddon et TonyB : cet album abandonne les velléités métalliques des derniers disques pour revenir à la meilleure période (à mon avis) de Pendragon, qui prend fin pour moi avec le sublime "The Masquerade Overture". Mais j'ai une opinion bien moins mitigée que celle de mes confrères : même s'il est loin d'égaler "The Masquerade Overture", "Love Over Fear" distille des mélodies très agréables, certes majoritairement très calmes (le côté mou du genou relevé par TonyB ?), mais qui s'écoutent avec un grand plaisir. Peut-être pas un grand album mais le meilleur de Pendragon depuis 1996 en ce qui me concerne.
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Après les dernières productions à tendance métallique, Pendragon revient à ses premières amours et à son style développé entre "The World" et "Not of this World".
Menu oh combien alléchant pour tous ceux qui, comme moi, étaient nostalgiques de cette époque où la mélodie primait avant le bruit.
Présenté avec un artwork magnifique, ce nouvel album ne tient malheureusement pas toutes ces promesses. Certes, de superbes passages rappellent les envolées passées, sertis de mélodies magnifiques et de soli très 'barettiens'.
Un petit clin d'oeil également aux Waterboys plutôt sympa avec '360 Degrees' ravira ceux qui rêvent d'éclectisme.
Mais à côté de cela, trop de passages mous du genou où Mr Barrett déroule ses envies d'album solo (qu'attend-il pour se lancer dans l'aventure ?) viennent ternir le tableau d'une nouvelle production qui avait tout pour être un grand disque, mais qui se révèle au final mi-figue mi-raisin.
Dommage. Pour ma part, je retourne à "The World" et "The Masquerade Overture", toujours inégalés dans la discographie du groupe.
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Je redécouvre cet album que j'avais surtout apprécié en écoute d'ambiance, jusqu'à présent. Sans avoir saisi la multitude des inflexions mélodiques et vocales, que Pendragon a pris le risque de noyer dans une pesante linéarité sonore. C'est une méthode discutable, car même les oreilles avisées peuvent s'y égarer. Mais, si la magie opère, c'est un aspect scintillant qui finit par émaner de cette sonorité, révélant alors toute la richesse mélodique dissimulée sous l'épaisseur du vernis. Pour moi, l'écoute en boucle n'est pas envisageable, mais à dose homéopathique, cet album est une vraie réussite.
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De mon côté je ne situe cet album ni dans la mouvance de l’ancien Pendragon, ni dans le prolongement de sa trilogie métal prog. "Men Who Climb Mountains" fait office de franc-tireur dans cette discographie, avec la prédominance d’une ambiance superbement mélancolique n’ayant pas souvent eu les égards de l’équipe de Barrett. N’empêche, on reconnait désormais la griffe de Pendragon entre mille. Et pour cette occasion, on découvre un disque qui se classe certainement parmi les meilleurs, avec à l’appui des titres qui sont presque tous magnifiques – beauté des mélodies et émotions fortes au rendez-vous. En dépit de quelques longueurs (le thème de 'Come Home Jack' par exemple, desservi par sa répétition) parfois inhérentes au néo progressif. Mais Pendragon n’a rien perdu de son panache, et cerise sur le gâteau, il reste un point commun flagrant avec la trilogie : le secret du titre au pouvoir salvateur, désigné ici de manière on ne peut plus explicite, 'Faces of Light'. Un pur joyau, d’autant plus étincelant qu’il émerge au milieu du projet le plus élégiaque, peut-être, de la discographie.
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