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TITRE:
PARALLYX (16 SEPTEMBRE 2024)
TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:
METALCORE
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Music Waves avait rendez-vous avec les membres de Parallyx, nouveau venu dans la galaxie metal.
STRUCK
- 20.12.2024 -
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L'an dernier, nous avions rencontré la nouvelle frontwoman de Sleeping Romance, Lina Victoria... Un an plus tard, nous avons de nouveau rencontré cette même Lina et si son patronyme a changé, le talent, l'énergie et la créativité restent les mêmes. Et c'est en compagnie des autres membres du groupe que Lina... Benabdesslem nous présente son ton nouveau projet Parallyx qu'elle compte bien défendre bec et ongles pour atteindre les sommets...
Lina, on s’était rencontrés en janvier 2023 dans le cadre de la sortie du nouveau Sleeping Romance que tu venais d’intégrer. Nous savions à l’époque que tu œuvrais dans Abhcan et que tu étais un mangaka notamment de la série Lucifer, mais nous ne savions pas que tu étais dans Parallyx. Qu’est-ce qui te fait courir ?
Lina Benabdesslem : (Rires) Ce qui me fait courir ? C'est le sommeil et l'organisation un an à l'avance (Rires)…
Tu ne dors pas ?
Lina : Si justement, je dors beaucoup. Je dors vraiment pas mal et pour le coup, je ne peux pas le sacrifier parce que sinon je ne suis pas bien du tout. Je m'organise beaucoup un an voire un an et demi à l'avance et ça me permet de tout voir venir.
Je place Parallyx et mes romans pour le moment en priorité
Comme tu es bien organisée, tu n’as pas dû faire de choix ?
Lina : Comme Parallyx vient d'une idée que j'ai eue -aux alentours de janvier 2023- et que j'ai créée en août 2023, les autres groupes ont dû accepter que j'allais avoir un peu moins de temps en tout cas au début de Parallyx, le temps de lancer tout ça… Mais sinon tout va bien, les groupes existent toujours, Abhcan et Sleeping Romance existent toujours simplement ils savent que Parallyx est ma priorité et ça le sera tant que ça fonctionnera bien et donc pour le moment, ça ne va pas forcément avancer de l'autre côté mais ils continuent de faire des choses dans leur coin et à me tenir au courant : on a eu un concert avec Abhcan il n'y a pas longtemps, il n'y a rien d'altéré à ce niveau-là… C’est effectivement bas régime pour un moment parce que je ne peux pas tout faire.
Mais ta question était de savoir si je faisais des choix ? Oui, et je place Parallyx et mes romans pour le moment en priorité.
Nous posons cette question parce que Sleeping Romance est un groupe international et nous pensions que tu accorderais ta priorité à ce projet - à moins que l’accueil du dernier album n’ait pas été à la hauteur de vos espérances ?
Lina : Franchement, l’album a été bien accueilli, il n'y a pas de souci à ce niveau-là. Ce n’est simplement pas une question de succès ou non. C'est simplement que Parallyx étant en mon projet, je savais que je voulais donner toute mon énergie dedans en priorité. Et les gars ont très bien compris ça, il n'y a vraiment aucun souci à ce niveau-là.
Dans le logo du groupe et dans votre nom il y a l’idée de parallélisme... parallèle aux autres groupes de metalcore, parallèles entre vous, parallèles aux préoccupations des auditeurs ?
Lina : Quand j'ai trouvé le nom Parallyx, mon idée n'était pas forcément d'évoquer quelque chose en particulier… Déjà, Parallyx est un mot inventé et en fait, l'idée du parallélisme dans les lettres, c'était par rapport aux lettres "L" à savoir que je pensais au graphisme et savoir ce que j'allais faire de tout ça visuellement… Et donc ça a fait que je trouvais que visuellement ça rendait quand même assez bien l'idée de parallèle.
C’est l’illustratrice qui parle…
Lina : Oui, c’est vrai (Sourire) ! J'ai pensé à tout ça en même temps quand je réfléchissais au nom du groupe. C’est ce qui fait que je me suis retrouvée avec ce design qui est plutôt pratique pour moi pour la suite.
Est-ce que c‘est une forme tout autant qu’une différence d’avoir une femme au chant ? Est-ce qu'elle apporte une dose de sensibilité dans un monde de brutes ?
Corentin Miara : En fait, c'est plus que la voix de Lina offre pas mal de possibilités de par toutes les techniques qu'elle peut utiliser, que ce soit du growl, du scream, du chant clair, parfois voix de tête, plus voix de poitrine, de la puissance, de la douceur… En fait, elle a une palette tellement large qu’on a moins de limites pour composer. Et comme on essaie de ne pas trop se mettre de limites dans ce qu'on veut faire, c'est très pratique !
La force de Parallyx, c’est justement notre capacité à tous écrire nos
morceaux ensemble
Justement, ce chant vous démarque de la scène metalcore. Est-ce c’est un retour du girl power, comme le démontre le choix d’une chanteuse pour Linkin Park ?
Lina : Je ne pense pas que ma présence soit un élément démarquant car la force de Parallyx, c’est justement notre capacité à tous écrire nos morceaux ensemble et à mettre ce qu’on sait faire de mieux dans nos morceaux.
Je pense que les Linkin Park ont choisi une chanteuse non pas pour avoir une fille mais plutôt parce qu’il se trouve qu’elle correspondait aux critères recherchés par rapport au chant et à l’attitude, et ça c’est top parce qu’on en a un peu marre -nous les filles- d’être retenues pour notre genre plutôt que pour nos performances vocales. On espère que ça sera ma voix, mes influences et mon identité vocale qui nous démarqueront, bien sûr, mais tout autant que le talent des autres instrumentistes.
Et à ce titre, comment s'est passé la rencontre avec les autres membres ?
Corentin : Ça s'est fait petit à petit... C'est vrai qu'au début, elle ne connaissait personne du groupe. Au projet début 2023, elle travaillait avec un guitariste pour commencer à écrire des morceaux, se donner une direction… Et puis, elle a rencontré notre batteur Robin Robin (NdStruck : Robin Cabaret) qui est arrivé en août dans le projet et ensuite, de fil en aiguille, c'est arrivé assez vite parce que Robin me connaissait. Je suis à la basse et on avait déjà travaillé ensemble dans d'autres projets. Je suis arrivé dans le projet en septembre/ octobre de l’année dernière, puis Adrien et Mathis sont arrivés fin janvier/ début février de cette année…
Votre actualité est la sortie de "The Cult". Quelle est l’histoire de ce disque ?
Corentin : Le titre "The Cult" signifie la secte. Lina écrit les paroles et toutes ces paroles racontent des histoires. Et si on prend les paroles des différents morceaux, c'est l'histoire d'une secte, la secte de Magdalena Solis qui a sévi aux Etats-Unis pendant un certain nombre d'années. Ces paroles se réfèrent à différents épisodes, des rapports de police, des articles journalistiques… Et comme Lina est un peu fascinée -c'est une peur et une fascination en même temps sur ce type de sujet- cet album raconte l'histoire de cette secte et de plein de choses qui s'y sont passées…
L’idée de mouvement sectaire souterrain et de crime peut évoquer "Operation: Mindcrime". Est-ce que ça a été une source d’inspiration ?
Corentin : Au niveau musique je ne pense pas, on n'était plus sur quelque chose de plus moderne, un metal moderne avec des influences metalcore, djent... Tout ce qui relate du mystère des sectes -et qui donne quelque chose de très foisonnant en termes d'idées- est plus concentré sur les paroles. En termes de musique, on s'est moins référé à tout ça.
Vous citez les influences metalcore. Quel est votre petit truc en plus pour vous distinguer dans cette scène foisonnante ?
Corentin : Techniquement, je ne sais pas si on se définit comme groupe de metalcore parce qu’on écoute tous les cinq des choses différentes. Et comme on compose à cinq, tout se ressent un petit peu dans les musiques. Et donc finalement, il y a effectivement des inspirations metalcore -notamment sur les refrains très mélodiques, très ouverts- mais également des influences djent, très rythmiques sur certains couplets, certains riffs et il y a aussi des inspirations sur certains titres plus urbains, modernes, plus rap, des influences un peu hip-hop.
Adrien Gottis : Le petit truc en plus, c'est la diversité ! Comme on disait tout à l'heure, dans les différentes sonorités de voix, et après les différentes influences, les passages énervés, les passages plus éthérés, et donc je pense que c'est ça qui pourrait nous différencier…
Et on revient à Lina qui permet de vous démarquer de la scène metalcore. Est-ce la raison pour laquelle la pochette met Lina au centre du visuel ?
Corentin : Lina a vu le travail d'un artiste sur les réseaux. On a tous adhéré à son style graphique et on s'est dit que ça pourrait être chouette d’avoir une pochette d'album comme ça. On a envoyé plusieurs idées et effectivement, Lina avait des inspirations avec des visages sur des pochettes d'album. Et on s'est dit que tant qu'à faire autant mettre celui de Lina : c'est l'image principale du projet !
A la lecture du thème développée, le personnage de l’album se confond avec votre chanteuse, Lina...
Corentin : Oui, c’est un peu l’idée… parce que certains morceaux, elle incarne en fait ce gourou dans les paroles…
N’est-ce pas un peu schizophrène pour toi ? En clair, où est le vrai, où est le faux ?
Lina : La pochette a été pensée pour représenter les histoires et les images qui se dégagent de l’esprit de Lina. L’idée était d’avoir ces émanations représentant les histoires que Lina a voulu raconter à travers le thème et les paroles de cet album.
Est-ce que derrière ton visage angélique se cache une tueuse en série ?
Lina : (Rires) Si c’était le cas, tu t’imagines bien que je ne te le dirais pas (Sourire)…
Ce premier album était l'occasion pour nous de [...] définir une vraie
direction musicale mais aussi une direction stratégique
Pourquoi avoir choisi de sortir des titres en single plutôt directement les sortir sur l’album ?
Corentin : Stratégiquement, aujourd'hui, quand on regarde tout ce qui se fait à côté, ce premier album était l'occasion pour nous de pouvoir chercher des choses musicalement, savoir où on veut aller, définir une vraie direction musicale mais aussi une direction stratégique. Et forcément, on regarde par tout ce qui se fait à côté…
… C'est effectivement ce qui se fait avec les écoutes sur les plateformes, en revanche n’est-ce pas trahir la cohérence de l’album de sortir des singles et ainsi les sortir de leur contexte conceptuel ?
Corentin : Non, parce que finalement l'aspect secte est uniquement dans les paroles mystérieuses qui racontent une histoire et c’est ce qui donne de l'inspiration à Lina…
Adrien : Après, l'album va sortir sous forme d'album en physique mais ça nous fait plaisir d'avoir régulièrement des choses...
Corentin : En fait, si on voulait que ça fonctionne -et on veut que ça fonctionne, forcément- il faut pouvoir aussi s'adapter au marché. Certes on adore ce qu'on fait, on prend du temps pour composer, on teste des trucs, des idées, on fait des concerts… mais aujourd’hui, il faut aussi penser stratégiquement et satisfaire le client (Sourire)…
Vous êtes des disciples de la secte Ultra Vomit ?
Corentin : (Rires) … en sortant des singles régulièrement qui nous permettent d’être toujours présent.
Mathis Megrier : Ça nous fait aussi plaisir parce qu’il se trouve que visuellement les clips qu’on propose ont à chaque fois une direction artistique un peu différente.
Corentin : Ça permet d’ajuster ce qu'on fait en fonction des sorties, des retours des gens...
Mathis : Si on sortait tout d'un bloc, ça serait plus difficile de trouver une cohérence avec ces images, de tout mettre en même temps… C'est une autre manière de raconter quelque chose, au niveau visuel en tout cas.
Corentin : Ça fait comme plusieurs épisodes d'une série : ça nous permet de garder quelque chose de régulier et de donner aussi de l'importance à chaque morceau.
Mathis : Avec tout le temps que ça met à être produit, à être composé, à tourner les clips… Tout sortir d'un coup, ce serait un peu mettre un coup de pied dans l'eau.
Justement, malgré l’attente de votre public à chaque sortie, est-ce qu’une sortie d’album n’a pas plus d’impact sachant qu’au moment de la sortie de l’album, le public connaîtra déjà la moitié de cet album ?
Mathis : Alors, on n’a pas balancé les meilleurs, sachez-le (Sourire)…
Adrien : En tout cas, c'est vrai que c'est une question qu’on s’est posée: est-ce qu’on va sortir l’album mais il n’y aura que deux ou trois nouveautés… C'est un peu dommage, il y aura moins de surprises. Il y a du pour et du contre...
Mathis : Mais si tu regardes des très gros genre Gojira sur le dernier album, finalement, il n'y avait pas tant d'exclus : ils avaient quand même sorti beaucoup de singles avant.
Corentin : … même chose pour Falling in Reverse si tu regardes tous les titres, ils étaient déjà tous sortis en single avant que l’album ne sorte.
Mathis : La stratégie est plus actuelle. Même chose pour Novelists, ils ont sorti l’EP au moment de sortir le dernier single mais les trois autres étaient déjà sortis indépendamment. En fait, c'est un choix, et comme c'est un premier album, on essaie des choses : on a pris ce parti-pris, et puis on verra par la suite…
Cet album superpose des riffs complexes, des rythmes funk, des passages rap, des sons électro. Est-ce que cette variété est la somme de toutes vos influences ?
Corentin : Complètement ! On vient tous d'univers musicaux différents avec certains points communs et on se rejoint dans Parallyx justement. Mais on a des influences d’artistes, plus urbains, djent, metalcore… Par exemple, Mathis, tu bosses avec d'autres artistes, tu fais des trucs plus urbains, plus pop, tout ça… Robin et moi sommes de formation jazz qui évolue en fusion, qui évolue en prog… Toi, Adrien, tu es plus deathcore, hardcore de base.
Adrien : … Et reggae avec un passé dans le ska punk.
Corentin : Et puis Lina qui avec Abhacan vient notamment du heavy…. Toutes ces influences rentrent dans cet album.
C'était un peu une volonté sur cet album de ne pas mettre de solo
Et dans cet album, il y a très peu de guitares solitaires. Est-ce une manière de se concentrer sur l'énergie, augmenter l’impact des riffs et du chant et souligner les ambiances ?
Corentin : C'est ça !
Mathis : C'était un peu une volonté sur cet album de ne pas mettre de solo.
Corentin : On s'est fait la réflexion en se disant que peut-être plus tard ça arrivera…
Mathis : Sur le second album, il y aura sûrement un peu de solo.
Corentin : Parce que l'envie se fait sentir… Sur cet album, l'envie ne se faisait pas forcément sentir. Et puis, on n’allait pas mettre un solo pour mettre un solo. Ca s’est fait comme ça dans le déroulé du morceau et puis voilà…
Adrien : Ça nous plaisait ainsi…
Corentin : On a essayé sans solo et pour le moment on est assez content de ce qu'on fait.
Mathis : Mais je vais citer à nouveau Gojira. Dans leur discographie, il n’y a eu qu’un solo sur un morceau de "Fortitude" sinon avant il n'y a jamais eu de solo.
Adrien : Si, sur "From Mars to Sirius", il y a également eu un solo sur un morceau…
Corentin : C'était un parti-pris on va dire, et dans le déroulé ça se faisait naturellement.
Mathis : C'est clair, et c'est un peu dans la tendance actuelle dans le metal moderne qui est un peu moins un style à guitare entre guillemets. Il y a quand même une grosse part qui est laissée à la prod où les guitares sont plus ou moins un élément de prod comme un autre.
Corentin : Comme tu le disais, c'est un style à riff avec de l'énergie et de la lourdeur et les guitares se prêtent à ce genre de truc. Mais plus ça avance…
Mathis : Oui, t'inquiète, ça arrive (Sourire).
J’ai toujours assumé mes origines et je n’ai jamais cherché à les cacher
Lina, tu te présentes désormais en tant que Lina Benabdesslem alors que tu étais Lina Victoria quand nous nous sommes rencontrés à l’époque de la promo de Sleeping Romance ? Est-ce une façon d’assumer tes origines et de dire qu’on peut être marocaine et libre ou tout simplement un prolongement de la schizophrénie que nous avons souligné entre toi et le personnage de cet album ?
Lina : C’est surtout une manière pour moi de marquer le changement de direction musicale. J’ai toujours assumé mes origines et je n’ai jamais cherché à les cacher, c’était plutôt pour préserver un pan de ma vie privée que je n’utilisais pas mon nom complet avant. Je voulais que l’artiste et la personne soient séparées. De plus, Lina Victoria était rattachée à Sleeping Romance, groupe que j’ai rejoint, mais Lina Benabdesslem, c’est moi, et je voulais que Parallyx soit un projet qui me ressemble et me représente telle que je suis. Il est difficile pour moi de séparer l’artiste de la personne au sein de Parallyx, puisque c’est un projet que j’ai créé justement pour pouvoir mettre tout ce que je suis et tout ce que j’aime dans un projet musical.
En quoi le chant est particulier et met et souligne tes origines ou influences orientales ?
Lina : Mon chant vient comme je le sens dans le morceau et c’est vrai que parfois il y a des sonorités orientales, bien vu ! La plupart du temps, ce n’était pas nécessairement voulu ou calculé, c’est simplement venu lors de l’écriture du morceau et si ça nous plaît, on le garde. Mais on essaie rarement de le forcer.
Parallèlement, Lina, tu as participé au single ‘Of War And Peace’ d’Immunity, qu’est-ce qui lui a donné envie de chanter avec eux ?
Lina : Je connaissais le guitariste du temps où je travaillais en Allemagne et on a toujours voulu faire de la musique ensemble mais n’avions jamais eu l’occasion. Lorsque j’ai fondé Parallyx, il avait déjà créé son groupe Immunity et m’a proposé de les rejoindre pour un morceau, alors évidemment, j’ai accepté ! Ça m’a aussi fait une excuse pour retourner dans une ville que j’adore et dans laquelle j’ai vécu : Nuremberg ! J’adore le style du groupe et le morceau m’a tout de suite parlé : il me permettait d’explorer plusieurs facettes vocales, et tu sais comme j’adore ça. En plus, je trouve que ma voix s’accorde super bien avec celle de Nik !
Vous y avez répondu en partie mais y’aura-t-il une suite à ce disque, car on sent que Parallyx veut donner une suite, un parallèle à cet album ?
Corentin : Un "parallyx" à cet album (Rires). Oui, on a déjà commencé à penser à la suite et à écrire certaines choses…
Avec des solos…
Corentin : avec des solos (Rires)… Mais oui, on a évolué dans ce qu'on écoutait, dans ce qu'on avait envie de faire. Donc la suite arrive, mais entre par exemple ‘Vices of Men’ -le premier titre sorti en décembre dernier- et ce qu'on fait aujourd'hui, on a pas mal évolué.
Mathis : En plus, ‘Vices of Men’ a cette particularité d’avoir été composé par l'ancien guitariste. Donc le morceau est présent mais c’étaient ses influences…
Corentin : Donc oui, la suite arrive -on y a déjà pensé- et ça va être super : ça continue d'évoluer…
Et finalement qu’attendez-vous de cet album ?
Adrien : C’est un premier album, c'est un premier lancement, le but est de le partager avec le plus de gens possible, d'avoir des retours positifs, de montrer au monde ce qu'on fait. Montrer qu'on existe et essayer de défendre le fait que ce qu'on fait est bien.
Corentin : L’objectif est de faire découvrir cet album à un maximum de monde et montrer ce qu'on fait. Individuellement, cet album nous a aidé à évoluer musicalement et savoir un peu plus ce qu'on va pouvoir faire sur la suite. Et puis, pour les gens, on espère que ça va leur plaire un maximum parce qu'on a mis beaucoup de temps, d'énergie, de passion, d'argent aussi (Sourire)…
Mathis : Et de jouer beaucoup plus en live.
Corentin : Les retours qu’on a de nos lives sont plutôt chouettes, les gens ont l'air d'apprécier. C'est cool si on peut réussir à partager ces choses ensemble.
Merci beaucoup.
Parallyx : Merci à toi !
Et merci à ThibautK pour sa contribution...
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